http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-983387@51-982356,0.html
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es reporters des chaînes de télévision venus rendre compte des affrontements à Villiers-le-Bel ont été confrontés à un double risque : celui d'
"attiser la violence" ou de
"s'attirer la colère", des émeutiers, explique Jean-Marie Bayle, directeur de la rédaction de LCI. Au cours de l'hiver 2005, radios et télés ont égrené le nombre de voitures brûlées chaque nuit.
"Nous sommes plutôt confrontés cette année au nombre de policiers blessés", ironise Guillaume Dubois, rédacteur en chef de BFM-TV."